Assign modules on offcanvas module position to make them visible in the sidebar.

Testimonials

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Sandro Rosell
FC Barcelona President

Nous avons 527 invités et aucun membre en ligne

Politique

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Une mission d’observation demande l’installation des chefs de quartier avant (Rapport)

 1 MISSION D’OBSERVATION ELECTORALE DE LA SOCIETE CIVILE GUINEENNE :

« WON MA ELECTION » RAPPORT PRELIMINAIRE : ELECTIONS LEGISLATIVES

 Phase 1 : ETABLISSEMENT ET REVISION A TITRE EXCEPTIONNEL DU FICHIER ELECTORAL v CONTEXTE : L’instauration de la démocratie est d’une importance capitale, parce que la démocratie, contrairement à l’autocratie, cultive la stabilité politique en créant un consensus entre les différents intérêts politiques. En outre, le régime politique, de manière générale, détermine le niveau des secteurs d’activités publiques que sont l’éducation, la santé publique, la sécurité nationale etc.

 En fait, il est établi que la défaillance de la démocratie est la cause principale du sous-développement structurel qui sévit en Afrique sub-saharienne. La démocratie est un système sociopolitique ; elle fonctionne à partir des interactions de ses sous-systèmes, en tant qu’éléments structurellement articulés : la Constitution, le principe de la séparation des pouvoirs, la liberté de presse et d’opinion, le multipartisme, et la tenue d’élections libres, régulières et transparentes.

 Il y a aussi les acteurs qui animent la scène de la démocratie. Ce sont : la société civile, les syndicalistes, les partis politiques, les électeurs, etc. ; sans ces acteurs, la démocratie perd son centre et ses contours. C’est pourquoi la MISSION D’OBSERVATION ELECTORALE DE LA SOCIETE CIVILE GUINEE « WON MA ELECTION », consciente de ce rôle d’acteur clé que doit jouer la société civile dans la construction d’une démocratie forte, a adopté une posture proactive se manifestant par la formulation de propositions visant à garantir les conditions d’une élection crédible, inclusive et apaisée en inscrivant son action dans une dynamique d'anticipation et de prévention de potentiels conflits.

Depuis son amorce, le 23 décembre 1990, à la suite de l’adoption de la Loi fondamentale, le processus de démocratisation avance laborieusement en Guinée. Or, comme pour nombre de pays africains, la réussite de la démocratie est cruciale 2 pour la Guinée. En effet, le pays a connu ses premières élections multipartites le 19 décembre 1993.

Depuis lors, plusieurs élections y ont été organisées. Il ressort en toile de fond que tous ces rendez-vous électoraux ont un dénominateur commun qui se caractérise par le triptyque fraude, contestation et violence. Les élections locales du 4 février 2018, les dernières en date, n’ont pas échappé pas à la logique du triptyque mentionné et ont été émaillées de fraudes massives, de contestations de toutes parts, et de violences meurtrières. En matière électorale, c’est comme si le temps s’était arrêté pour la Guinée au XXème siècle.

 Entre la dépêche du 19 décembre 1993 et celle du 4 février 2018, c’est encore la même histoire. Pourtant, lorsque le vote des citoyens cesse d’être un outil d’expression et un moyen d’influer efficacement et démocratiquement sur l’avenir d’un pays, cela entraîne inéluctablement le pays concerné sur le chemin

Add a comment

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Le Groupe national de contact et de dialogue pour la paix (GNC), une organisation composée d’anciens ministres, a désapprouvé, vendredi à Conakry, le débat sur la constitution.

Selon l’ancien ministre de la Justice, Pr Salifou Sylla, président dudit groupe, ce débat qui soupçonne le président Alpha Condé de vouloir changer la constitution pour briguer un troisième mandat, n’est fondé « ni sur un texte, ni sur un cadre de concertation ».

« Le groupe national de contact estime que les conditions du débat actuel sur la constitution est une violation de la loi fondamentale qui régit le fonctionnement de l’Etat jusqu’à nouvel ordre. Cette loi fondamentale doit être respectée de tous », a affirmé Pr Salifou Sylla au cours d’une conférence de presse.

A son avis, ce débat « paralyse l’administration, oppose les citoyens, perturbe l’économie nationale, exacerbe l’ethnocentrisme, corrompt nos transactions économiques et financiers avec l’étranger et occasionnent des pertes en vies humaines ».

« A défaut d’un arrêt pur et simple de ce débat qui n’est fondé ni sur un texte, ni sur un cadre de concertation, le Groupe National de Contact recommande de surseoir purement

Add a comment

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Le député Ousmane Gaoual Diallo, était l’invité de la radio lynx Fm ce vendredi, 13 décembre 2019, dans cet entretien, le député défend la cause de la participation de l’opposition pluraliste au dialogue inter-guinéen qui est l’objet de critique de moult observateurs, pour qui l’opposition ne devrait a attendu qu’il y ait des morts pour aller au dialogues, Ousmane Gaoual devant les questions de journalistes joue à la défensive. Interview.   

Bonjour Ousmane Gaoual Diallo : Ce dialogue inter-guinéen où il n’y a que le parti UFDG et UFR beaucoup d’observateurs pensent que vous y êtes pour y perdre du temps qu’est-ce que vous en dites ?

Ils pensent que c’est une perte du temps mais moi, je n’ai jamais eu espoir que ce pays peut avancer par le dialogue, en dix ans la gouvernance actuelle à prouver son aversion à permettre aux guinéens de régler leurs problèmes, leurs contradictions par le dialogue parce que ça, ça exige une responsabilité, ça exige de la hauteur, or malheureusement ce sont les extrémistes qui sont au commende du pouvoir ou tapis dans l’ombre de prise de décision qui poussent ce pays de plus en plus vers l’impasse, ça c’est quelque chose extrêmement dommageable pour notre pays et pour l’Afrique de l’Ouest.

Est-ce que vous êtes d’accord avec ceux qui pensent comme Faya Millimmono que l’UFDG et UFR ne devraient pas à aller à ce dialogue qui selon lui ressemblera à d’autres forcement…

Je pense que Dr Faya se prend trop au sérieux parce qu’il se permet de donner à tort et à travers des avis qui n’ont aucun intérêt pour nous. Ce n’est pas Dr Faya qui sait ce qui est bien ou pas pour l’ufdg et l’ufr je pense qu’il faut qu’il respecte les gens, il faut qu’il respect ses partenaires, ça c’est important qu’il le sache. Nous nous savons ce que nous faisons et nous savons suffisamment nos responsabilités et nous prenons suffisamment notre rôle pour faire la part de chose

A quoi servira ce dialogue où on parle des élections législatives où on parle la mise en place des chefs de quartiers et des districts alors que les processus

Add a comment