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Moment historique ce mardi 10 janvier à l'Assemblée nationale de Côte d'Ivoire. Au lendemain de sa démission de son poste de Premier ministre, Daniel Kablan Duncan a été désigné vice-président, un nouveau poste créé par la Constitution promulguée en novembre. Le président Alassane Ouattara l'a annoncé ce matin devant les députés réunis en session extraordinaire.

Le chef de l’Etat, devant l’ensemble des députés de cette nouvelle législature, n’a pas eu de mots assez élogieux à l’égard de celui qui fut pendant quatre ans son Premier ministre : un collaborateur « fidèle, dévoué », ayant un « grand sens de l’Etat » et un « patriote dévoué ». C'est ce qu’a décrit le président Ouattara, laissant planer quelques instants le suspens avant de prononcer donc le nom de Daniel Kablan Duncan.

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Le ministre de la Défense ivoirien est arrivé, samedi, à Bouaké pour tenter de désamorcer une mutinerie de soldats, qui s'étend à plusieurs villes du pays, dont la capitale économique Abidjan.

La situation reste tendue, samedi 7 janvier, en Côte d’Ivoire. Après Bouaké, la deuxième ville du pays, lemouvement de contestation des militaires mutins, réclamant une amélioration matérielle de leur sort, s’est étendu à plusieurs villes du pays, dont Abidjan, la capitale économique du pays.

"Il y a de nombreux tirs en l'air à l'intérieur du ministère de la Défense [à Abidjan]", a signalé un diplomate témoin de la scène.

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Cinquante-sept journalistes ont été tués dans le monde en 2016 en raison de leur profession, principalement dans les pays en guerre, contre 67 en 2015, selon le bilan annuel de Reporters sans frontières (RSF) publié lundi 19 décembre. Neuf "journalistes-citoyens" (surtout des blogueurs) et huit collaborateurs des médias ont également été assassinés cette année.

Cette baisse significative s'explique par le fait que de plus en plus de journalistes fuient les pays devenus trop dangereux : la Syrie, l'Irak, la Libye, le Yémen, l'Afghanistan, le Bangladesh ou le Burundi sont devenus en partie des trous noirs de l'information où l'impunité règne.

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