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Dimanche 14 février à Conakry, le sénégalais Me Elhadj Diouf, avocat de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG) a dit qu’on s’achemine vers un procès politique dans le dossier de l’assassinat du journaliste Elhadj Mohamed Diallo. Cet   ancien ministre et actuel député, s’exprimait lors d’une rencontre avec les journalistes à Kaloum. En voici un court extrait !

    

«Celui-là qui a été exclu de l’UFDG, qui a signé un deal avec le président Alpha Condé, qui demande maintenant à l’UFDG de ne plus s’opposer, mais c’est Bah Oury. Donc, lui, il est instrumentalisé pour détruire l’UFDG. Dans sa sinistre entreprise de déstabilisation et de destruction de l’UFDG, il a promis d’aller jusqu’au bout et avait même proféré des menaces. Comme l’a dit mon confrère, tout est orienté. Le complot est clair et évident. Le pouvoir, largement minoritaire dans le pays, veut détruire la principale force politique de Guinée, l’UFDG, qui est de loin, la plus grande force la plus représentative dans le pays, et qui empêche certains de dormir.

 

C’est dire qu’on s’achemine vers un procès politique de liquidation d’adversaires encombrants. Parce qu’on a peur de Cellou Dalein Diallo, disons-le net et précis, c’est lui qui a gagné l’élection présidentielle de 2010, et qui, aujourd’hui, aurait dû être à la tête de l’Etat guinéen. Vous le savez bien, le second tour s’était tenu quatre mois après. Dans ce contexte, ce n’est plus la même élection. Mais une nouvelle élection. Malheureusement, la communauté internationale a été complice. De la Francophonie à l’Union européenne, jusqu’à d’autres institutions malhonnêtes, instrumentalisées et corrompues, on a voulu laisser la Guinée dans un Etat anti-démocratique.» 

Ben Youssef