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Conakry, 29 novembre 2024 – Une cérémonie historique s’est tenue ce vendredi sous la présidence d’Elhadj Ibrahima Kobélé Kéita, Secrétaire Général du Ministère de la Culture, du Tourisme et de l’Artisanat. À cette occasion, des cartes d’assurance sanitaire ont été officiellement remises à d’éminents acteurs de la culture guinéenne.
Parmi les bénéficiaires, on compte d’anciens ministres de la Culture, ainsi que des artistes – chanteurs, danseurs, chorégraphes, acrobates – et des écrivains. La cérémonie s’est déroulée en présence de hauts cadres du ministère, dont la Conseillère Chargée des Questions de Culture et de l’Artisanat et le Conseiller Chargé de Mission.
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Du 4 au 8 décembre 2024, Conakry vibrera au rythme des tambours du Festival International du Djembé (FID-GUINÉE). Ce grand rendez-vous culturel, désormais de retour, entend repositionner la Guinée sur la carte mondiale de la musique, avec le djembé comme symbole de son identité profonde.
Le ministre de la Culture, de l'Artisanat et du Tourisme, Moussa Moise Sylla, a levé le voile sur cet événement lors d’une conférence à Camayenne Plage, annonçant une programmation à la hauteur de l’ambition : plus d’une dizaine de spectacles, des performances de concours national, et des rencontres avec des artistes venus des quatre coins du monde.
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Mercredi dernier, au Centre Culturel Franco-Guinéen, la projection du court-métrage Seleelan, réalisé par la Fondation Soul Bang’s et Manamba Kanté pour l'Humanité, a capté l'attention de nombreux spectateurs, dont Moussa Yéro Bah. Présidente de l'ONG Femme, Développement et Droits Humains en Guinée (F2DHG), elle a pris la parole après la projection pour souligner l'importance de ce projet et lancer un appel aux artistes à s'engager activement contre les mariages d'enfants.
Le film, qui met en lumière les dangers et les souffrances liés aux mariages précoces, va au-delà de la simple dénonciation des pratiques traditionnelles. Il aborde également la violence physique et psychologique subie par les jeunes filles. « Le film dénonce non seulement le mariage des enfants, mais aussi la violence corporelle infligée à la petite fille, les coups visibles sur son corps témoignent de la brutalité qu’elle a subie. Cela va au-delà de la violence physique, c'est une forme de violence psychologique, une tentative de lui ôter son droit à l’éducation, à choisir son futur, à décider avec qui elle veut vivre », explique Moussa Yéro Bah.
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