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Dans une adresse à la nation le 14 novembre 2020, le chef de l'État Alpha Condé dresse un bilan peu résilient dû au non-respect des mesures des gestes barrières dont le port des masques, les distanciations sociales, le lavage des mains... par les populations. C'est dans ce contexte qu'Alpha Condé invite aux respects des gestes barrières et reconduit l'état d'urgence.
Lisez l'intégralité du discours!
Guinéennes et Guinéens,
Mes chers compatriotes,
Je m’adresse à nouveau à vous pour vous faire le point de la situation de la Covid-19 dans notre pays.
J’aborde cet exercice avec gravité et préoccupation.
A la date du 13 novembre 2020, la situation épidémiologique compte un cumul de 12 537 cas confirmés positifs, 10 899 cas guéris et malheureusement 74 décès.
Guinéennes et Guinéens,
Nous avons constaté une hausse du taux de positivité des personnes testées passant de 5% à plus de 10%, preuve d’une nouvelle circulation du virus au sein de notre population.
Force est de constater aujourd’hui un relâchement quasi-total des mesures barrières sanitaires comme le port du masque, la distanciation physique et l’hygiène des mains dans la majorité des lieux publics, notamment les transports, les lieux de cultes, les administrations, les marchés...
Chers concitoyens,
La situation épidémiologique que nous observons prouve que la covid-19 continue de se répandre sur l’ensemble du territoire national.
Il a été constaté que de nombreux cas sont asymptomatiques, le danger de cette situation est que le malade ne présente aucun
Add a commentLire la suite : Stop Covid19 en Guinée : L'État d'urgence reconduit pour une période de 30 jours
Dans un rapport publié par l'Agence national de la sécurité sanitaire (ANSS) ce lundi 3 Août 2020, les personnes testées dont l'âge varie entre 21 et 50 ans sont les plus touchées par la Covid-19 et les cas de décès bat son plein sur les plus de 50 ans.
Depuis l'apparition du premier cas en Guinée le 12 Mars 2020, le nombre de cas ne cesse d'augmenter ce, malgré les mesures sanitaires édictées par les autorités. Parmi les populations victimes, les jeunes occupent une grande place, selon le rapport de l'ANSS. Pour elle, le plus grand pourcentage des personnes déclarées au covid-19 ont l'âge qui varie entre 21 et 50 ans. Par contre, les plus de 50 ans sont beaucoup plus exposées au cas de décès.
Add a commentLire la suite : Covid-19 en Guinée : La tranche d'âge des moins de 50 ans est la plus touchée
L’humanité célèbre ce vendredi, 19 juillet 2020, la journée internationale de sensibilisation contre la drépanocytose. L’occasion devrait être mise à profit pour se pencher sur les difficultés que rencontre les malades et les problèmes liés au traitement de cette maladie dans notre pays. Pour parler de ça, notre reporter a donné la parole a Thierno Saliou Keita secrétaire administratif de drépanocytaires en Guinée. Interview.
Bonjour M. Keita : Quel sont les problèmes que vous rencontrez au court de traitement de cette maladie ?
Nous rencontrons assez des problèmes sanitaires parce que cette maladie, est une maladie qui est accompagnée des complications, nous avons la complication qu’on appelle la nécrose que moi, j’ai. Qui fait que la tête de l’os… se détruit raison pour laquelle je marche avec des cannes, il y a d’autre complication qu’on appelle le priatisme, ça c’est les érection à longue durée, chez les garçons, il y a une complication qui est les douleurs au niveau des membres et des articulations qui est souvent fréquent chez nous les drépanocytaires, vous pouvez rencontrer des enfants et des jeunes qui souffre de ces douleurs, nous rencontrons souvent ces problèmes, c’est une complication.
Nous rencontrons aussi au niveau des soins, c’est que c’est une maladie qui n’est pas facile à gérer parce que, ce ne sont pas tous les médecins qui sont spécialistes en traitement de la drépanocytose, il faut des médecins spécifiques, des vrais spécialistes. Dieu a fait que Dr Dramé spécialiste soit là au centre de drépano-guinée ; raison pour laquelle les drépanocytaires viennent vers lui.
Il y a autre complication qui est niveau de financement parce que c’est une maladie qui coûte cher, imaginer quelqu’un qui tombe malade à plusieurs reprises dans l’année. S’il y a manque de sang au niveau d’un drépanocytaire, ça cause des problèmes. Et les drépanocytaires sont souvent exposés à ces problèmes de manque de sang.
Qu’est-ce que vous trouvez comme solution ?
Nous demandons d’abord à l’Etat d’introduire la prise en charge des drépanocytaires dans leur programme de développement national sanitaire, et des personnes aussi de bonne volonté de
Add a commentIl a été constaté que de plus en plus de véhicules sortant du grand Conakry sont munis de fausses attestations Covid-19 pour passer les contrôles et se rendre à l’intérieur du pays. Ces méthodes constituent non seulement une violation des dispositions prises dans le cadre de l’état d’urgence mais également une infraction en faux et usage de faux sanctionnée par le Code pénal.
En conséquence toute personne fabricant, utilisant ou tentant d’utiliser de tels documents pour se soustraire aux restrictions imposées par l’état d’urgence ou le Code de santé publique se verra appliquée les peines prévues par la Loi.
Add a commentConakry, le 12 mai 2020 – L’organisation médicale humanitaire internationale Médecins Sans Frontières (MSF) a démarré le 28 avril la prise en charge des patients atteints par la pandémie de COVID-19 au Centre de Traitement des Épidémies (CT-Epi) de Nongo, à Conakry avec une capacité maximale de 75 lits. Cette prise en charge est cruciale alors que le nombre de personnes infectées dans le pays ne cesse de s’accroître et que les capacités d’hospitalisation restent très limitées.
Le Centre de Traitement des Épidémies de Nongo (CTEpi Nongo) est une structure bien connue de MSF. L’organisation humanitaire avait en effet mis sur pied sur fonds propres ce centre en 2015 lors de l’épidémie d’Ebola qui avait durement affecté la Guinée. Plus de 10 milliards de francs guinéens (1 million d’euros) avaient été investis en 2015 par MSF pour bâtir ce centre, avant de remettre sa gestion aux autorités guinéennes.
« Aujourd’hui, face à la nouvelle pandémie de COVID-19 qui touche la Guinée, nous avons réhabilité une bonne partie de la structure pour la remettre aux normes et accueillir les premiers patients» explique KEÏTA Guéya Bonaventure, Coordinateur Technique et Logistique de MSF en Guinée. « La mise sur pied de cette unité de soins était urgente au vu de l’engorgement de l’hôpital de Donka. Dans un premier temps, nous pourrons assurer ici la prise en charge de patients présentant de symptômes légers de la maladie mais ayant besoin d’hospitalisation comme le prévoit la politique nationale de prise en charge »
Un soutien initial de trois mois est prévu par MSF pour le site de Nongo et une augmentation du nombre de lits est
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