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Monsieur le président, votre bilan est ironiquement noir. Vous devez en tirer les leçons qui s’imposent et partir la tête pas totalement basse.
Pour la petite histoire, lorsque votre très cher ami François Hollande promit de redresser la courbe du chômage en France, il était conscient et confiant dans ce qu’il disait. Mais à la fin, quand il comprit que ce n’était pas le cas (conjugué avec quelques petits éléments internes au PS) , il décida de ne pas se représenter.
Add a commentLa construction d’une Nation est aussi douloureuse que la conception d’un enfant. Elle commence par un malin plaisir de prendre le pouvoir dans une bulle du vouloir changer le cours de vie de la société dans laquelle nous nous trouvons par l’amour et le dévouement que nous comptons offrir volontiers à la cause commune.
Mais face à nous la maladie de la Société. La Société avec ses histoires, belles parfois hystériques dont les séquelles vont et reviennent souvent au galop habiter certains esprits. Corruption, gabegie, libertinage, liberticide, impunité, avarice, impolitesse, incrédulité, … couronnés par la maladie de l’autre, animent la société et sont devenus foi de vie pour la majorité de ses composantes. Elle se vide de son essence vitale conventionnelle humaine et ses composantes deviennent dures de peaux. Difficilement malléable.
La Démocratie, vers lequel concept de vie nous nous dirigeons est aussi une foi que nous prêchons, dont les tares suscitées ne peuvent accompagner dans sa marche pour l’émancipation effective de la Société.
Le paysage guinéen politico-civil est d’une effervescence inquiétante par ces temps qui courent. L’élégance démocratique par laquelle nous étions parti en 2010 a perdu de son éclat et frisé l’impertinence, quand d’entités entières supposées avisées refusent le débat démocratique pour un meilleur devenir de la Guinée.
Et là, la « Maladie » de la Société refait surface !
L’élégance démocratique que doit hériter la nouvelle génération doit être douce et accompagnée par ceux qui prirent part à ses balbutiements. La transition générationelle ne se fait forcément par des dits révolutions, qui peuvent virer quelquefois aux règlements de compte et à un retour assuré à la case de départ. Le putsch de 2009 avec le Capitaine Dadis CAMARA en est une parfaite illustration. N’eût été la clairvoyance du Ministre d’Etat Tibou CAMARA auprès du Général Sékouba KONATÉ, alors dirigeant de la transition, la Démocratie aurait emprunté un chemin belliqueux sur nos terres.
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