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Politique

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Des heurts ont mis aux prises de jeunes Guinéens et les forces de sécurité jeudi dans la banlieue de Conakry, faisant une vingtaine de blessés, a indiqué le collectif interdit qui a appelé à manifester contre la junte au pouvoir. Le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) qui a appelé à la mobilisation a dit dans un communiqué déplorer "une vingtaine de personnes blessées dont certaines par des tirs à balles réelles, (et) de nombreuses arrestations". Aucune confirmation de ces informations n'a été obtenue d'autre source.

L'opposant guinéen Cellou Baldé placé sous contrôle judiciaire

Le FNDC, officiellement dissous par la junte, avait appelé à manifester pacifiquement jeudi à Conakry, puis le 26 octobre dans tout le pays, pour réclamer un retour rapide des civils à la tête du pays, ainsi que la libération des prisonniers détenus selon lui pour des raisons politiques. Le FNDC est la dernière organisation à mobiliser, mais a reçu le soutien des principaux partis, réduits à l'inaction.

La banlieue de Conakry et la route Le Prince qui la traverse sont traditionnellement le théâtre de la contestation. Les médias locaux y ont rapporté des confrontations dans différents quartiers pendant la journée. Des dizaines de pick-up de police et de gendarmerie ont été stationnés le long de cet axe. Des jeunes ont cependant brûlé des pneus et renversé des poubelles sur la route, désertée de tout

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L’union des Guinéens est aujourd’hui une urgence qui constitue les maillons stratégiques dans la démocratie, c’est pourquoi Editorialiste Habib Marouane Camara à travers sa plus interpelle les cadres conscients et les autorités du pays à plus de responsabilités…pour le bonheur de la Guinée.

« Le devoir de tout citoyen, dans la situation actuelle du pays, est de s’intéresser à la vie de la Nation afin d’apporter sa contribution et ses critiques pour sa construction.

Malheureusement, aujourd’hui, où nous avons plus que besoin de nous unir, la politique des hommes forts du moment ne fait que diviser les Guinéens et radicaliser les positions par un rejet systématique de toute critique, et le plus cruel dans cette tragédie est que celui qui critique est perçu d’office comme un ennemi ! Et la justice est utilisée pour des règlements de comptes personnels ou mettre à la touche des leaders politiques représentatifs d’au moins 99% des populations guinéennes.

Ils ont tous oublié que la liberté de mouvement et d’expression est garantie par une Charte. Mais il y a des hyènes vêtues de la peau d’agneaux qui se sont infiltrées dans le groupe des agneaux pour pouvoir les dévorer. Eh oui, l’homme sensé être la solution est devenu le calvaire.

Notre liberté d’expression, nous l’avons acquise sous Lansana Conté, et cette liberté d’expression, certains en ont pleinement profité sans jamais être inquiétés. Aujourd’hui, cette même liberté d’expression est prise en otage, ce qui veut dire que le navire a pris de l’eau, et ne tardera pas à s’écrouler si les dirigeants ne prennent garde. Le lion est blessé, et nous savons tous de quoi le lion est capable quand il est blessé.

Le refus de tout ordre actuel a endeuillé des familles, blessé des Guinéens, détruit des biens par un manque total de vision pour mettre ce beau pays sur la voie de la démocratie, de l’entente et du vivre-ensemble.

La situation actuelle des restrictions des libertés se passe de tout commentaire. C’est du jamais vu en Guinée, un véritable cas d’école en matière d’échec dans la gouvernance.

L’amateurisme, le manque de vision et la corruption ont fini par mettre en péril l’équilibre social avec un incivisme et une banalisation de la vie humaine.

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L’ex-président guinéen Alpha Condé, le 7 novembre 2020. Il a été renversé par un coup d’Etat militaire en septembre 2021.

L’ex-président de la Guinée, Alpha Condé, 83 ans, renversé par un coup d’Etat militaire le 5 septembre, a été autorisé, vendredi 31 décembre, à quitter le pays pour des examens médicaux. « En concertation avec la Cédéao [la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest], l’ancien président Alpha Condé est autorisé à aller se faire consulter à l’extérieur pour une période d’un mois », explique un communiqué du gouvernement lu vendredi soir à la télévision publique. La date de son départ n’a pas été précisée.

 La libération de M. Condé fait partie des exigences de la Cédéao, avec la tenue d’élections dans les six mois. L’organisation a suspendu la Guinée de ses instances et sanctionné individuellement les membres de la junte dirigée par le colonel Mamadi Doumbouya, qui s’est fait investir président de transition.

M. Condé, à la tête du pays pendant près de onze ans, a été mis au secret pendant douze semaines, jusqu’à ce que la junte l’autorise à résider chez son épouse, dans la banlieue de Conakry. Le pouvoir n’avait pas précisé si ce séjour était assorti de restrictions, mais, selon la presse, il est en résidence surveillée.

 Un coup d’Etat bien accueilli par la population

La junte avait affirmé dans un communiqué le 17 septembre qu’Alpha Condé « est et demeurera en Guinée ». Le Comité national du rassemblement pour le développement, qui a pris la direction du pays après le putsch, « continuera à assurer à l’ancien chef de l’Etat un

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Le front national pour la défense de la constitution FNDC dissoute le 09 aout dernier par un arrêt du gouvernement de la transition (CNRD), appelle à une série de manifestations le 18 et 19 octobre 2022 sur toute l’étendue du territoire nationale. Sékou Koundounou le responsable des stratégies et planifications du front anti 3ème mandat, joint par téléphone par nos confrères de FIM FM ce samedi, 08 octobre 2022 reproche le CNRD d’une gestion unilatérale de la transition.  D’être dans une désorientation systématique de la transition qui tend vers une transition de développement. Et par les moyens légaux tient à se battre comme un diable jusqu’au retour à l’ordre constitutionnelle.

Alors que beaucoup d'observateurs disent qu’un nouveau cadre de dialogue a été institué pour donner une chance aux discussions qui vont s’ouvrir très bientôt, le Front anti 3ème mandat envisage une série des manifestations de 18 au 19 octobre sur toute l’étendue du territoire nationale.     

Sur la base de décisions qui ont été prises par la CEDEAO lors de son sommet extraordinaire des chefs d’Etats et de gouvernements tenus le 24 septembre dernier à New York au cours de laquelle l’institution sous régionale a engagé une série de sanction progressive à l’encontre de la junte militaire, mais aussi les menaces prochaines qui pèsent sur la Guinée si le CNRD ne parvient pas réunir les conditions idoines d’un dialogue inclusif et sincère entre les forces vives de la nation y compris le CNRD. La défiance de la junte vis-à-vis de la communauté internationale mais plus particulièrement de la CEDEAO. Le mépris de dédain de la junte militaire face aux forces patriotiques du pays notamment des acteurs de la société civile opposés

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Quatre mois après le coup d'État en Guinée, le Premier ministre Mohamed Béavogui vient de faire valider sa feuille de route auprès du colonel Mamady Doumbouya, président guinéen de transition. Il y aborde notamment la gouvernance du pays ou la situation financière mais ne précise pas la durée de la transition, sans donner de date

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