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Politique

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Sous le grand soleil de Mamou, Joachim Baba Millimono affiche un calme à toute épreuve. Présent aux côtés de plusieurs figures du pouvoir actuel — Cellou Baldé, Maladho Diallo, les ministres Ousmane Gaoual Diallo, Moustapha Naité, Alpha Bacar Barry — l'ancien responsable de la communication de l'UFDG refuse de passer inaperçu.

« Je ne suis quand même pas une personne anonyme », glisse-t-il, sourire en coin. « J’ai pas mal d’amis dans la gouvernance actuelle », ajoute-t-il, sans détour. Une réalité qu’il assume pleinement, affirmant avoir su entretenir des liens, hier sous Alpha Condé comme aujourd'hui. « Je mets à profit mes relations pour me repositionner, c’est tout. Mais attention, il ne s’agit pas d’un repositionnement administratif », précise-t-il.

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En Guinée, l’opposant Aliou Bah jugé en appel pour « diffamation et offense au chef de l’Etat » était, mercredi 23 avril, pour la cinquième fois devant la Cour d’appel de Conakry. Le ministère public a requis cinq ans de prison ferme contre le leader du Mouvement démocratique libéral, le MoDeL. Ce qui a provoqué la colère de ses avocats. Le verdict est prévu dans un mois, le 28 mai 2025. 

Incompréhensible et inadmissible, entendait-on dire sur la table des conseillers de Mamadou Aliou Bah qui ne connaîtra son sort que dans un peu plus d’un mois. Me Houlématou Bah dénonce ce qu'elle appelle l’excès de zèle du ministère public : « Le président de la République qu’ils défendent aujourd’hui à cor et à cri ne leur a pas dit çà, la charte qu’il a signé lui-même, dit que tous les citoyens guinéens sont égaux devant la loi et que tout le monde doit être traité de la même manière devant les juridictions. Vous l’avez constaté avec nous le ministère public n’a rien produit de potable.

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Conakry, 23 avril 2025 — La chaleur pèse lourd sur la capitale, mais à l'intérieur du ministère de l’Administration du Territoire et de la Décentralisation (MATD), l'atmosphère est électrisante. Sous les plafonds de la grande salle de conférence, ils sont là, plus de cent jeunes venus des quatre coins du pays, portés par une même conviction : faire entendre la voix du Forum National des Jeunes des Partis Politiques (FONAJEP).

Dès les premiers instants, la scène est posée. Camara Djénabou Touré, la directrice nationale des affaires politiques, prend la parole, regard franc et voix assurée :

« Le FONAJEP a prouvé qu'il sait se structurer. Il est aujourd'hui un pilier pour notre campagne de sensibilisation au recensement biométrique. »

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Chronique : Un leader véritablement aimé n'a pas besoin d’acheter des foules, d'intimider ses concitoyens ou de recourir à des mises en scène grotesques pour remplir les places publiques. L’authenticité du soutien populaire se lit dans l’élan spontané, dans la ferveur libre, non dans la peur ou la corruption. Pourtant, à Conakry aujourd'hui, c'est un triste spectacle qui s'impose : une mobilisation factice, arrangée à coups de menaces et de billets de banque distribués à la sauvette, pour tenter de maquiller une réalité de plus en plus évidente.

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Sous un soleil de plomb, la voiture officielle s’immobilise devant la vieille préfecture de Koundara. Amadou Oury Bah, Premier ministre en tournée de sensibilisation sur le recensement biométrique, descend, l’œil attentif, le pas décidé. Après Sambailo et Sareboïdho, c’est ici, dans cette commune frontalière, que la réalité le rattrape : des bâtiments délabrés, des murs lézardés, des toitures prêtes à s’effondrer.

Face aux autorités locales, le constat est brutal. « Ces édifices datent du premier plan triennal d’après l’indépendance. Depuis, rien ou presque n’a été fait », lâche-t-il, visiblement secoué par l’état des infrastructures. Dans cette région stratégique, aux confins du Sénégal, de la Guinée-Bissau et de la Gambie, l’absence de l’État saute aux yeux.

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