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Au Palais des sports de Citadela de Luanda ce 05 Mars dernier près de 10 000 militants et sympathisants étaient au rendez-vous pour s’abreuver la parole de leur leader

Cellou Dalein Diallo, leader de l'Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG), a tenu un rassemblement au Palais des sports de Cidadela de Luanda avec près de 10 000 militants et sympathisants présents. Il a rappelé que le peuple guinéen a été séduit par le discours de prise de pouvoir du Colonel Mamadi Doumbouya, qui s'est engagé à mettre fin au dysfonctionnement des institutions, à l'instrumentalisation de la justice et au piétinement des droits et libertés des citoyens. Cellou Dalein Diallo a salué la présence massive des membres de l'UFDG et de non-membres, et a exhorté tous les participants à œuvrer pour la consolidation de l'unité nationale et la promotion de la solidarité et de la fraternité entre tous les Guinéens. 

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A l’occasion d’un communiqué lu à la télévision nationale le jeudi 03 mars dernier, interdisant toute exportation au poste frontalier des denrées alimentaires de première nécessité pendant au moins trois mois, en raison de l'approche imminente du mois de Ramadan, par le ministre du commerce, de l’industrie et des petites et moyennes entreprises (PME).

Notre rédaction de ramtoulaye.com a tendu son micro à Madjou Bah, spécialiste des cultures maraîchères, qui a donné son point de vue sur cette déclaration.

Ramtoulaye.com : Monsieur Bah, vous avez suivi ce communiqué lu à la télévision nationale, qui interdit l’exportation des denrées alimentaires de première nécessité. Vous évoluez dans la culture maraîchère, notamment l’aubergine, le gombo et les concombres. Quelle est votre réaction ?

Madjou Bah : « Moi, je suis dans la culture maraîchère, je produis généralement de l’aubergine, du gombo et des concombres. J’ai suivi avec attention ce communiqué. Il faut dire que l’intention est bonne, mais avant de prendre ce genre de décision, il faut penser aux mesures d’accompagnement. D’accord, c’est pour soulager la population pendant le mois de Ramadan, une intention salutaire. Mais d'un autre côté, il y a un risque de perte énorme de notre côté.

 Nous allons devoir acheminer les récoltes jusqu'à Conakry, mais est-ce qu'on a un lieu de stockage ? Quand on vend en bordure de route, il n’y a pas de lieu de stockage, encore moins de conservation.

Supposons que j’envoie 800 sacs d’aubergines, 400 sacs au marché de Matoto et 400 autres au marché de Koloma. Si je ne parviens pas à évacuer tout cela à temps, parce qu’on ne peut pas conserver, qui va perdre ? D’ailleurs, pendant le transport, nous perdons parfois plus de 5 à 6 sacs à cause de la superposition dans le véhicule. D’habitude, quand nous avons 800 sacs, nous en orientons 200 voire 250 sacs vers la frontière sierra-léonaise parce que nous avons des clients fidèles là-bas. Maintenant, mettez-vous à notre place, si nous orientons tout cela à Conakry sans succès, est-ce que cet agriculteur aura le courage de produire ? C’est pourquoi j’ai parlé de mesures d’accompagnement et de subventions si possible.

Ramtoulaye.com : Quelles sont les difficultés que vous rencontrez lors de la production ?

Madjou Bah : Nous avons des difficultés de transport, d'abord du champ de culture au bord de la route. Le second cas concerne l'embarquement jusqu'à la destination, c’est-à-dire Conakry. Avant, nous perdions beaucoup de marchandises en

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