Assign modules on offcanvas module position to make them visible in the sidebar.

Testimonials

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Sandro Rosell
FC Barcelona President

Nous avons 478 invités et aucun membre en ligne

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives
 

Le Haut conseil des maliens de Guinée a déclaré mardi dernier, que des maliens font bel et bien « partis » des étrangers qui ont été arrêtés sur le sol guinéen la semaine dernière. Selon son président Mohamed Sidibé, ses maliens seraient venus en Guinée soit « en complicité avec la société QNET » (qui fait des ventes en ligne) ou avec « des personnes qui agissent au nom de cette société ».

« Il était prévu de leur accorder des avantages. Et Dans le cadre de leur collaboration avec ladite société, chacun de ces jeunes maliens avait payé la somme de 500 mille FCFA soit 8 millions de francs guinéens. En plus, pour être éligible aux offres de QNET, chaque client devait amener deux autres personnes avec lui. Et à chaque fois qu’un nouveau client arrive, on lui demande de remplir les mêmes conditions », souligne Mohamed Sidibé, tout en indiquant que « ces

importantes précisions » découlent d’une investigation menée par le haut conseil des maliens de Guinée « auprès des uns et des autres ».

« A Conakry, il y a 23 maliens qui ont été arrêtés, 36 à Kankan, nous n’avons pas un chiffre exact à Siguiri », a ajouté M. Sidibé qui par ailleurs salue la suspension des activités de Qnet en Guinée par le ministère de la Justice.

« Nous saluons aussi l’enquête qui est en cours », a fait savoir le président du haut conseil des maliens également 1er vice-président du conseil des maliens de l’extérieur.

Il faut noter que la semaine dernière plusieurs centaines de jeunes expatriés de la sous-région (maliens, sénégalais, burkinabés) et Guinéens, se réclamant de la société Qnet ont été interpellé dans les environs de Conakry et à l’intérieur du pays.

Pour tirer au clair cette affaire, Souleymane Doumboya, promoteur du cabinet Africa Business Consulting partenaire de Qnet en Guinée a été entendu par la Direction de la police judiciaire (DPJ). M. Doumbouya au sortir de son audition avait tenu d’abord a précisé qu’il n’est pas représentant de Qnet en Guinée. « Si mon entreprise est en partenariat avec Qnet, c’est parce qu’il ne souffre d’aucun problème au niveau légal», a-t- il indiqué, tout en soulignant qu’en Guinée l’autorité tutelle de toutes les sociétés de vente en ligne, « c’est l’ARPT ». « Jusqu’à jour Qnet n’a pas été repéré comme une société qui est dans le cyber crime », avait-il déclaré.

 Sadjo Diallo