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Lors de l’assemblée générale hebdomadaire de l’UFDG samedi dernier, Kalèmodou Yansané a appelé ses militants à ne pas compter sur la communauté internationale, mais plutôt sur leurs propres forces.

« Nous remercions tout le monde, l’union européenne, la CEDEAO, M. Ibn Chambas, on les remercie pour leur bonne volonté, mais ne compter pas sur eux. Ne comptez pas sur eux, nous comptons sur la jeunesse de l’UFDG. Ne comptez sur personne, on ne peut compter que sur notre propre force », a lancé Kalémodou Yansané.

Paralant de la dernière marche des dernières échauffourées enregistrées à Conakry le 14 novembre 2019, le vice-président de l’UFDG accuse le gouverneur de la ville de Conakry.

« Vous avez dû constater ce qui s’est passé, c’est une agression contre le FNDC. Une agression perpétrée contre le FNDC par les autorités locales de Conakry en première ligne, monsieur le gouverneur qui est un Général d’armée, qui connaît parfaitement la règle en la matière, qui attend la nuit tardivement pour dire

que vous ne passez pas là, passez là. La première faute qui a abouti aux accrochages vient de là. Les autorités locales n’ont pas pris leur responsabilité, elles ont failli à leur devoir. Le gouverneur aurait dû appeler les organisateurs, il a leurs adresses au complet, comme d’habitude, pour s’entendre avec eux sur l’itinéraire 48 heures avant la date de la marche. Il ne l’a pas fait, pourquoi ? Aujourd’hui, il passe dans tous les médias dire, les militants sont violents, j’ai vu monsieur avec un bidon de 20 litres d’essence pour brûler un bus. Comment quelqu’un peut être dans une marche avec un bidon de 20 litres sans se faire repérer par toute la sécurité qui était là ? Est-ce que c’est possible ça ? Peut-être qu’ils ont organisés eux-mêmes cette affaire de bus brûlé. On ne peut pas dans une marche de ce genre, en pleine journée, entre 10 heures 15 heures, se promener, sur la tête avec un bidon d’essence de 20 litres sans se faire arrêter, c’est possible” ? », s’est interrogé Kalèmodou Yanssané.

Sadjo Diallo