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En Guinée, une grande partie des mères de famille, comme Aïssata se lèvent tôt pour aller chercher de quoi nourrir leurs enfants. Reportage.

Chaque matin, Aïssata Camara s’installe dans ce petit coin du marché de Sangoyah, un des nombreux lieux de commerce de la capitale guinéenne Conakry. Cette mère de sept enfants, vendeuse de kaolin et de médicaments traditionnels, quitte sa maison tous les jours à six heures du matin pour n’y revenir qu’en milieu d’après-midi.

« J’habite au quartier Entang. C’est loin. Je paie 10 000 francs guinéens (615 francs CFA) à un conducteur de taxi-moto pour m’amener au marché », explique-t-elle à APAnews.

Mais avant de quitter la maison, Aïssata laisse 40.000 francs guinéens (GNF), l’équivalent d’environ 2500 francs Cfa à sa fille aînée pour la dépense journalière dont 10.000 GNF pour le petit déjeuner.

Son mari, un chauffeur de profession, souffrant de rhumatisme, est rentré dans son village par manque de travail et de revenus. « Même avant que mon mari ne rentre au village, c’est moi qui m’occupais des enfants. Avant, il conduisait pour un patron. Mais depuis 2009, il a perdu son emploi. Depuis 2015, il est malade et est allé au village pour se soigner », martèle Aïssata.

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Dans une adresse à la nation le vendredi 28 février dernier, le président de la République Alpha Condé a reporté la tenue des élections législatives couplées au référendum constitutionnel qui devraient avoir lieu le 1er mars 2020. Cette annonce tombe à un moment où les acteurs en compétition battaient campagne à Conakry et à l'intérieur du pays. Déchu de cette attitude du chef de l'État, le Cercle des acteurs pour la République (CAR), sort de son silence au cours d'un point de presse animé le mercredi 4 mars à la maison commune des journalistes à Kipé. Pendant les débats, les responsables du CAR ont fait savoir qu'ils entendaient organiser une marche le mardi 10 Mars pour exiger une date pour ces élections au président de la République si jusque-là une date n'est pas fixée.

Dans son annonce d'une date de manifestation, des membres du Cercle des Acteurs pour la République CAR pour la tenue des élections législatives, Dr Ibrahima Sory Diallo président du ADC-BOC avait invoqué les raisons de leur menace de manifester si rien n'est fait par rapport à leurs exigences.

« C'est par voie de presse qui nous avons appris le président s'adresser à la nation tout en reportant les élections à deux semaines mais chose qui nous a inquiété vu que le président n'a pas précisé une date. Raison pour laquelle nous avons attendu depuis vendredi jusqu'aujourd'hui avec le président nous donnant une date », a-t-il indiqué d’entrée.

Tout de même, le CAR reconnaît la légitimité de ce report par le président de la République tout en émettant des réserves qui s’agissent bien sûre de la non fixation d'une date pour les élections.

« Les motifs qui l'on engagé à reporter ces élections sont fondés vu que la Guinée est un État intégral des pays de la CEDEAO et membre de l'Union africaine. Elle a souscrite à la charte de bonne gouvernance de l'UA. Par conséquent, elle doit se soumettre aux exigences de la sous-région. Cependant, il faut rappeler que les conventions internationales priment sur les lois  de la République. A ce sujet, nous avons donné raison au président de la République en arrêtant le processus. Ce qui nous a fait trop analysé cette décision, est qu'elle n'a pas été accompagnée d'une date précise », a-t-il déploré.

Revenant sur l'ultimatum fait au chef de l'État sur la fixation d'une date, Dr Ibrahima Sory Diallo invite les structures affluées au CAR à se tenir prêt au cas où le Chef de l'État ne répondra pas à leur demande.

« Nous avons accepté sa décision de reporter les élections. Nous pensons que la commission qui a été désignée par la CEDEAO et l'UA sont arrivées en Guinée et elles ont 10 jours de travail. Donc, ces dix jours vont être consacré par le président d'analyser et penser  à une date pour la tenue des élections. C'est pour cela, nous avons dit d'ici lundi le président doit se prononcer sur

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