Assign modules on offcanvas module position to make them visible in the sidebar.

Testimonials

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.
Sandro Rosell
FC Barcelona President

Nous avons 477 invités et aucun membre en ligne

Politique

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Le président Alpha Condé a promis de veiller personnellement au choix des candidats du Rassemblement du peuple de Guinée/Arc-en-ciel aux élections législatives, donnant l’assurance que tous ceux qui seront choisis auront l’onction «de la population».

« A l’uninominale, comme sur la liste nationale, nous allons veiller pour que ça soit des gens qui sont réellement acceptés par la population » et tous ceux qui ont « distribué de l’argent », pour figurer sur les listes du parti au pouvoir, seront éliminés, a dit Alpha Condé, à l’ouverture, jeudi dernier à Conakry, de la convention nationale du RPG/AEC.

« S’ils (ces candidats) veulent, ils n’ont qu’à aller créer leur parti et distribuer de l’argent. Parce que le RPG n’est pas un parti d’argent et de petits copains », a martelé le président guinéen.

Sur un tout autre plan, il a dénoncé la pratique consistant à réserver « des miettes » aux partis alliés dans le cadre des investitures. Lors  des élections communales de février 2018, le parti au pouvoir s’était arrogé 80% des candidatures contre 20% pour ses alliés.

Pour les législatives en vue, Alpha Condé Mais a promis qu’ « il y aura des endroits où nous allons présenter des partis alliés, il faut que cela soit très clair. La convention sera

Add a comment

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Les acteurs politiques guinéens n’ont pas pris beaucoup de temps pour réagir à l’annonce, jeudi soir, du projet de la nouvelle constitution par le chef de l’Etat, Alpha Condé. Si les uns dénoncent, les autres apprécient.

Pour Bah Oury, président de l’Union pour la démocratie et le développement (UDD), le chef de l’Etat en annonçant sa volonté d'élaborer une nouvelle constitution en dépit de « l'inconstitutionnalité de cette procédure », plonge la Guinée dans « les incertitudes » et ouvre la voie à « la déstabilisation de son pays ».

« La CEDEAO est ainsi directement interpellée », indique Bah Oury, tout en soulignant que l’acte du président Condé va au-delà des frontières guinéennes. « Sa décision, se désole-t-il, est ainsi une source supplémentaire de facteurs de tensions et de conflits dans cette région. De son côté, l'UA doit veiller à appliquer les pertinentes dispositions de la Chartre africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance (en vertu de laquelle) la décision du président Condé à un coup d'État ».

Cependant, l’ancien ministre de la Communication, Alhousseini Makanera estime que le président de la République vient d’offrir une opportunité à la Guinée. « La nouvelle constitution tient compte des attentes de la génération actuelle sans occulter l’avenir des générations futures. Il nous faut quitter les débats de

Add a comment

Note utilisateur: 0 / 5

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Au lendemain de l’adresse du chef de l’Etat, annonçant officiellement le projet en cours d’adoption d’une nouvelle constitution, le Front National pour la Défense de la Constitution (FNDCà s’est réuni en urgence ce vendredi 20 décembre 2019 à Conakry à l’effet d’apporter une réponse à ce défi.

Voici la déclaration du FNDC

Dans son adresse à la Nation du jeudi  19 décembre 2019, Monsieur Alpha CONDE a annoncé officiellement sa décision de perpétrer le coup d’Etat constitutionnel que le peuple n’a cessé de dénoncer tout au long de cette année, en exprimant clairement son opposition à toute présidence à vie.

En s’engageant dans cette voie, le Chef de l’Etat commet un parjure et perd ainsi toute légitimité. En l’absence délibérée de la Haute Cour de Justice pour constater ce parjure, il revient au peuple de Guinée d’en tirer toutes les conséquences.

Face à la complicité dans cette forfaiture de l’Assemblée Nationale dont le mandat a expiré, et de la Cour constitutionnelle en crise de

Add a comment