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Politique

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Les élections législatives prévues le 16 février 2020, était le sujet de la rencontre mercredi dernier entre la CENI et les émissaires du NDI et de la fondation Koffi Annan. Sur les différentes inquiétudes soulevées lors des débats, la CENI indique qu’avoir répondu aux préoccupations de la délégation.

Selon l’ancien président Béninois, Nicéphor Sogolo, la CENI est le centre de tous les problèmes électoraux. C’est pourquoi, « il va de soi qu’on soit là pour poser la question, si elle est aussi incompétente que ça, pour que cela arrive ? », s’est-il interrogé, tout indiquant, la mouvance et l’opposition ont donné leurs réponses, chacun dans son rôle. « Ils ont répondu à la plupart des interrogations posées. Nous souhaitons qu’il y ait des efforts indispensables, mais il faudrait que nous soyons mieux informés, pour que nous puissions informer l’opinion, parce que ce sont des questions politiques très sensibles. Il faut qu’ils puissent nous donner des éléments, pour qu’en retour, on les relaie et pour situer les responsabilités », a souligné M. Sogolo.

Pour le président de la CENI, la rencontre avec les émissaires est satisfaisante. « Nous avons pu répondre à leurs préoccupations, ils sont répartis satisfaits. Ils ont promis de revenir encore pour voir quelles sont les solutions qu’ils ont et pour leur faire des sollicitations à notre niveau, entre Africains », a déclaré Me Salif Kébé.

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La délégation internationale conjointe du National Democratic Institute (NDI) et de la Fondation Kofi Annan (KAF), dirigé par les anciens présidents Nicéphore Soglo du Bénin et Goodluck Jonathan du Niger, a publié au cours d’une conférence de presse, les observations préliminaires de sa mission d’évaluation pré-électorale qui s’est déroulée du 9 au 13 décembre 2019 à Conakry. Les émissaires du NDI et de la fondation Koffi Annan, ont appelé le chef de l’Etat a clarifié sa position sur le débat concernant la constitution.

A en croire, Dr Christopher Fomunyoh, directeur Afrique au NDI, de nombreux Guinéens rencontrés par les émissaires se sont dit préoccupés par le fait « des spéculations sur des changements du cadre constitutionnel et le calendrier électoral du pays affectent la préparation des élections de février 2020 ».

« Ils ont dénoncé les violences qui ont entaché les manifestations politiques depuis octobre dernier qui ont fait des morts et occasionné des dégâts matériels. La plupart des victimes de violences étaient des jeunes de 20 ans ou moins », a-t-il rapporté.

Pour renforcer la confiance des citoyens dans son engagement à renforcer la démocratie et favoriser des élections législatives pacifiques et crédibles, les

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Le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) a organisé, mardi à Conakry, une nouvelle manifestation contre un 3ème mandat du président Alpha Condé, malgré une rencontre avec les émissaires du National democratic institute (NDI) dirigés par les anciens présidents Goodluck Jonathan du Nigeria et Nicéphore Soglo du Bénin.

Du rondpoint de la Tannerie (commune de Matoto) à l’esplanade du stade du 28 septembre (commune de Dixinn), en passant par le carrefour Concasseur (commune de Ratoma), les opposants à un troisième mandat d’Alpha Condé, s’étaient massivement mobilisés. Vêtus pour la plupart de T-shirts rouges, les manifestants scandaient des slogans hostiles au régime en place.

Parmi eux, Madjoula Diallo tient une pancarte sur laquelle on peut lire : « A bas une nouvelle constitution », « Vive l’alternance », « Alpha dégage ». Diallo dit être déterminé à se battre pour l’alternance en 2020. « On ne va pas baisser les bras tant que le président Alpha Condé n’enterre pas son projet de troisième mandat. On va s’opposer à ce projet jusqu’à la victoire finale », promet-il.

Des véhicules transportant la sonorisation font passer en boucle les chansons « Quitte le pouvoir », « Mon pays va mal », « Alpha Condé devient fou »de l’artiste Tiken Jah Fakoly dopent le rythme des marcheurs.

« Ce combat est africain, ce n’est pas seulement pour la Guinée. Donc nous demandons le soutien de tous les peuples frères de l’Afrique du monde pour dire non au

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