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Politique

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Une délégation du National democratic institute (NDI) et de la fondation Koffi Annan, dirigé par les anciens présidents Goodluck Jonathan du Nigeria et Nicéphore Soglo du Bénin, séjourne à Conakry, depuis le lundi 09 décembre. Ces émissaires venus dans le cadre de l’évaluation de l’environnement pré-électoral, ont rencontrés les acteurs politiques de la mouvance, de l’opposition, mais aussi de la société civile. Une mission toutefois pas facile pour les hôtes, quand on sait que les acteurs politiques (mouvance et opposition), chacun de son côté se dit satisfait des échanges, donnant l’impression d’être dans la légitimité et la légalité que son adversaire.

Après les acteurs de la société civile, les émissaires ont reçu respectivement mardi dernier, l’opposition et la mouvance présidentielle. Les deux camps ont chacun expliqué aux hôtes leurs préoccupations.

Accompagné de certains cadors de la mouvance, le président de l’Union des forces du changement (UFC), a indiqué que des corrections sont en train d’être apportées aux différentes difficultés soulevées dans le processus électoral. « Tout ne peut pas être parfait, il y a certainement des difficultés, mais elles ne sont pas insurmontables. Les différents obstacles sont en train d’être surmontés progressivement. Notamment le problème de récépissés et les questions liées à l’enrôlement.  Donc, nous sommes prêts à aller aux élections législatives », a-t-il souligné avant d’ajouter qu’il faut « avoir une Assemblée légale et légitime ».

Cependant tout en saluant le dialogue avec les émissaires, Aboubacar Sylla déplore que le NDI n’ait informé les autorités de cette mission. « NDI a beau être une institution

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Dans un entretien accordé à nos confrères de la Radio espace Fm, le lundi, 8 décembre 2019, le coordinateur du FNDC après avoir passé un peu plus d’un mois en prison, est revenu sur les circonstances de son arrestation. Par ailleurs, le coordinateur du FNDC, prévient que sa lutte ira jusqu’au bout. Lisez !

Bonjour M. Sanoh racontez-nous ce qui s’est passé avant votre interpellation ?

48 heures avant les évènements, il y a eu une réunion au bureau du ministre de la Justice qui a réuni un certain nombre membres du gouvernement et d’officiers supérieurs et d’officiers généraux sur la question de mon arrestation, la réunion a eu lieu aux environs de 11heures, on était jeudi déjà, au sortir de là, j’ai été prévenu le vendredi, j’ai constaté des surveillances policières chez moi, nous avons été alertés par des voisins. Six (6) gros gaillards qui seraient venus sur 4 motos qui étaient en train de faire la surveillance, mais il y avait quand même une certaine confusion parce que, quelques jours plutôt on a remarqué sur ma clôture c’est écrit ‘’A. S danger’’. Donc la question était ; est-ce que ce sont des loubards ? Possible ! Est-ce que ce sont des policiers ?

Ils étaient habillés en civile, mais nous avions continué nos activités de préparation de la manifestation du 14 octobre. Vers 21heures 30, je suis sorti aller rencontrer ces gens-là parce qu’ils étaient là encore, ça inquiétait une peu les voisins, je suis allé voir un d’entre eux arrêté devant chez un voisin juste après chez moi, pour lui demander, c’est vous

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AG de l’union des forces républicaines l’UFR de ce samedi, 07 décembre 2019, Honorable Ibrahima Bangoura le vice-président du parti a dénoncé la manière dont le recensement se passe, dans les fiefs du pouvoir notamment en Haute Guinée qu’il qualifie de recensement général de population au lieu de recensement des électeurs ce qui est pour lui contraire à la loi. Liez.    

 « Il y a deux ans, on nous avait dit que : la région administrative de Kankan était plus peuplée que la région de Conakry, vous vous souvenez de cela j’espère ? » s’est-il interrogé à l’entame, 

 Alors dit-il, cela va se traduire dans ce fichier, c’était le stratagème qui était présenté à l’époque pour nous divertir pour certaine sale besogne qu’ils sont en train de faire.

Aujourd’hui poursuit-il, tout fonctionne bien en haute guinée sur le plan de la révision, mais vers ici c’est la croix et la bannière pour que les gens se massacrent. Et le fichier qui va sortir vous aurez peut-être 60% du fichier de la haute guinée et la forêt, et le reste 40% (le Fouta et la basse guinée ndlr), ce cela qu’ils sont en train de préparer, c’est quelque chose de très dangereux, je n’ai jamais vu un tel recensement nulle part. Ici Conakry et à Fouta les Kits ne fonctionnent pas, les CARLES sont arrêtés, il n’y a pas de Carle qui fonctionne

« Est-ce que ça c’est un recensement ? Alors qu’à Kankan, c’est un recensement général de la population, cela veut dire que tout le monde se fait recenser, alors que c’est un

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